Paul Valéry s'intéressait aux mathématiques, à la science et à la philosophie. Si il se réfère de temps en temps à Schopenhauer, il ne souligne pas l'importance du philosophe pour lui. Pourtant, ils traitent l'un et l'autre de la représentation, de la volonté, de la liberté humaine et du génie et de la théorie du beau. Pour composer « la jeune Parque » et « le cimetière marin », Valéry s'est servi aussi de l'oeuvre de Schopenhauer.