L'acronyme du séminaire, POTERE (Pouvoirs-Territoires-Représentations), a servi de fil directeur. Des chercheurs venus d'horizons divers ont croisé leurs réflexions a¬fin de revisiter des notions équivoques, pratiquées par chacun dans son champ propre. À une approche du « territoire » par les historiens et les géographes comme espace possédé et mis en valeur, répondait l'insistance des historiens de l'art pour installer au coeur des discussions la notion de paysage.